<img width=”1750″ height=”986″ src=”https://journalmetro.com/wp-content/uploads/2020/12/benevole-dans-entrepot-de-Moisson-Sud-ouest-e1607026971919.jpg” class=”attachment-post-thumbnail size-post-thumbnail wp-post-image” alt=”Moisson Sud-Ouest parvient pour l’instant à répondre à la hausse de la demande.” loading=”lazy” data-photo-credit=”Gracieuseté” data-attachment-id=”2585519″ data-permalink=”https://journalmetro.com/local/vaudreuil-soulanges/2585507/hausse-de-la-demande-alimentaire-chez-moisson-sud-ouest/attachment/benevole-dans-entrepot-de-moisson-sud-ouest/” data-orig-file=”https://journalmetro.com/wp-content/uploads/2020/12/benevole-dans-entrepot-de-Moisson-Sud-ouest-e1607026971919.jpg?fit=1750%2C986″ data-orig-size=”1750,986″ data-comments-opened=”1″ data-image-meta=”{"aperture":"0","credit":"","camera":"","caption":"","created_timestamp":"0","copyright":"","focal_length":"0","iso":"0","shutter_speed":"0","title":"","orientation":"0"}” data-image-title=”benevole dans entrepot de Moisson Sud-ouest” data-image-description=”Moisson Sud-Ouest parvient pour l’instant à répondre à la hausse de la demande.
” data-medium-file=”https://journalmetro.com/wp-content/uploads/2020/12/benevole-dans-entrepot-de-Moisson-Sud-ouest-e1607026971919.jpg?fit=213%2C160″ data-large-file=”https://journalmetro.com/wp-content/uploads/2020/12/benevole-dans-entrepot-de-Moisson-Sud-ouest-e1607026971919.jpg?fit=413%2C310″ style=”display:none”>La banque alimentaire Moisson Sud-Ouest fait état d’une demande 30% plus élevée par rapport à l’année dernière en raison de la COVID-19. L’organisme arrive pour l’instant à répondre aux besoins, mais l’incertitude plane pour la suite des choses.
Les pertes d’emploi et la crise économique en lien avec la pandémie seraient en cause. La hausse de 30% concerne les mois de septembre et octobre et pourrait avoir augmenté en novembre, selon l’organisme. L’augmentation correspond à deux tonnes de denrées supplémentaires nécessaires par semaine.
Afin de répondre à ces nouveaux besoins, Moisson Sud-Ouest a fait appel aux producteurs maraîchers de la région pour récupérer leurs produits en trop à la fin de la saison estivale.
Un achat d’environ 30 000$ a également dû être effectué afin d’acquérir des produits manquants comme des serviettes hygiéniques, du déodorant et des repas rapides. Des fonds de Centraide et du gouvernement fédéral ont permis ces acquisitions, les premières du genre en quatre ans.
La générosité du public s’est aussi fait ressentir au cours des derniers mois selon la directrice développement et philanthropie de l’organisme.
«On a beaucoup d’histoires touchantes comme un père de famille qui a décidé de nous donner la moitié de son budget de cadeaux de Noël ou une dame qui a reçu une augmentation sur sa pension de vieillesse qui nous l’a offerte», raconte Geneviève St-Jacques Thériault.
Prochains mois
Moisson Sud-Ouest mise beaucoup sur la période des Fêtes pour amasser de l’argent afin de pouvoir fonctionner douze mois par année. En 2020, plusieurs activités de financement, comme les collectes d’argent lors de guignolées, ne pourront avoir lieu en raison de la pandémie.
Cette situation s’ajoute au fait que janvier est un mois difficile pour les personnes à faible revenu. «Il y a beaucoup de factures qui arrivent à échéance en janvier», explique Mme St-Jacques Thériault.
Des demandes de subventions sont en cours afin de combler le manque. «Malgré l’incertitude, on a tendance à être confiant de pouvoir répondre aux besoins», continue-t-elle.
Les gens qui désirent donner un coup de main peuvent le faire au moyen de dons sur le site web de l’organisme.
«Les gens cherchent des moyens plus concrets pour aider, mais dans les circonstances c’est la façon la plus efficace pour qu’on puisse assurer nos services à longueur d’année», affirme la directrice au développement et à la philanthropie.
Unique banque alimentaire de la région, Moisson Sud-Ouest dessert 82 organismes de dépannage alimentaire à travers la région du Suroît.
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Nombre de repas que peut se procurer Moisson Sud-Ouest avec un don de 1$.
Source : Lire l'article complet par Journal Métro