« Ça ne serait pas le fun, pour les Québécois, si on ne pouvait pas à Noël voir nos familles, voir nos amis », a dit jeudi le premier ministre François Legault, un euphémisme qui a dû soulager nombre de Québécois. S’il est trop tôt pour prédire la forme que Noël prendra cette année, deux constats se dessinent : permettre les gros partys serait mal avisé, mais proscrire tout rassemblement le serait aussi.
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